Paul Gavarni (1804 - 1866) — Prix d'enchère
Paul Gavarni, de son vrai nom Hippolyte Sulpice Guillaume Chevalier, était un peintre, caricaturiste et illustrateur français et un satiriste remarquable du XIXe siècle.
Commençant sa carrière comme assistant d'ingénieur, il montre les signes de son futur génie à la fin des années 1820 en tant que dessinateur de mode et illustrateur. Mais son talent pour la caricature et l'art satirique le conduit à la rédaction des Gens du Monde en 1835. Paul Gavarni, l'un des caricaturistes les plus intelligents, n'avait pas son pareil pour dessiner et capturer les folies et les travers de son époque. Il s'est lié d'amitié avec de nombreux autres artistes de premier plan et écrivains contemporains, dont Honoré Balzac, Charles Dickens et William Maykpis Thackeray. Ses œuvres ont été collectionnées par la reine Victoria, ainsi que par Edgar Degas et Vincent van Gogh.
La longue association de Gavarni avec le magazine populaire Le Charivari, auquel Dumier et d'autres caricaturistes de l'époque ont également collaboré, a constitué l'apogée de sa carrière. Travaillant sans interruption de 1838 à 1844, il a produit plus de 900 gravures illustrant la vie parisienne séculaire avec beaucoup d'esprit, de charme et de satire. Il illustre également les romans de Balzac et d'Eugène Sue, ainsi que les nouvelles d'Hoffmann. Outre ses œuvres satiriques, Gavarnie s'est également distingué par ses portraits et ses croquis.
Mais ce n'est pas seulement dans les cercles mondains que Gavarni évolue, où il est admiré. En 1847, il passe un an à Londres, où il peint les habitants des quartiers pauvres de Whitechapel et réalise quelques-unes de ses meilleures œuvres.
Paul Gavarni, de son vrai nom Hippolyte Sulpice Guillaume Chevalier, était un peintre, caricaturiste et illustrateur français et un satiriste remarquable du XIXe siècle.
Commençant sa carrière comme assistant d'ingénieur, il montre les signes de son futur génie à la fin des années 1820 en tant que dessinateur de mode et illustrateur. Mais son talent pour la caricature et l'art satirique le conduit à la rédaction des Gens du Monde en 1835. Paul Gavarni, l'un des caricaturistes les plus intelligents, n'avait pas son pareil pour dessiner et capturer les folies et les travers de son époque. Il s'est lié d'amitié avec de nombreux autres artistes de premier plan et écrivains contemporains, dont Honoré Balzac, Charles Dickens et William Maykpis Thackeray. Ses œuvres ont été collectionnées par la reine Victoria, ainsi que par Edgar Degas et Vincent van Gogh.
La longue association de Gavarni avec le magazine populaire Le Charivari, auquel Dumier et d'autres caricaturistes de l'époque ont également collaboré, a constitué l'apogée de sa carrière. Travaillant sans interruption de 1838 à 1844, il a produit plus de 900 gravures illustrant la vie parisienne séculaire avec beaucoup d'esprit, de charme et de satire. Il illustre également les romans de Balzac et d'Eugène Sue, ainsi que les nouvelles d'Hoffmann. Outre ses œuvres satiriques, Gavarnie s'est également distingué par ses portraits et ses croquis.
Mais ce n'est pas seulement dans les cercles mondains que Gavarni évolue, où il est admiré. En 1847, il passe un an à Londres, où il peint les habitants des quartiers pauvres de Whitechapel et réalise quelques-unes de ses meilleures œuvres.
Paul Gavarni, de son vrai nom Hippolyte Sulpice Guillaume Chevalier, était un peintre, caricaturiste et illustrateur français et un satiriste remarquable du XIXe siècle.
Commençant sa carrière comme assistant d'ingénieur, il montre les signes de son futur génie à la fin des années 1820 en tant que dessinateur de mode et illustrateur. Mais son talent pour la caricature et l'art satirique le conduit à la rédaction des Gens du Monde en 1835. Paul Gavarni, l'un des caricaturistes les plus intelligents, n'avait pas son pareil pour dessiner et capturer les folies et les travers de son époque. Il s'est lié d'amitié avec de nombreux autres artistes de premier plan et écrivains contemporains, dont Honoré Balzac, Charles Dickens et William Maykpis Thackeray. Ses œuvres ont été collectionnées par la reine Victoria, ainsi que par Edgar Degas et Vincent van Gogh.
La longue association de Gavarni avec le magazine populaire Le Charivari, auquel Dumier et d'autres caricaturistes de l'époque ont également collaboré, a constitué l'apogée de sa carrière. Travaillant sans interruption de 1838 à 1844, il a produit plus de 900 gravures illustrant la vie parisienne séculaire avec beaucoup d'esprit, de charme et de satire. Il illustre également les romans de Balzac et d'Eugène Sue, ainsi que les nouvelles d'Hoffmann. Outre ses œuvres satiriques, Gavarnie s'est également distingué par ses portraits et ses croquis.
Mais ce n'est pas seulement dans les cercles mondains que Gavarni évolue, où il est admiré. En 1847, il passe un an à Londres, où il peint les habitants des quartiers pauvres de Whitechapel et réalise quelques-unes de ses meilleures œuvres.
Paul Gavarni, de son vrai nom Hippolyte Sulpice Guillaume Chevalier, était un peintre, caricaturiste et illustrateur français et un satiriste remarquable du XIXe siècle.
Commençant sa carrière comme assistant d'ingénieur, il montre les signes de son futur génie à la fin des années 1820 en tant que dessinateur de mode et illustrateur. Mais son talent pour la caricature et l'art satirique le conduit à la rédaction des Gens du Monde en 1835. Paul Gavarni, l'un des caricaturistes les plus intelligents, n'avait pas son pareil pour dessiner et capturer les folies et les travers de son époque. Il s'est lié d'amitié avec de nombreux autres artistes de premier plan et écrivains contemporains, dont Honoré Balzac, Charles Dickens et William Maykpis Thackeray. Ses œuvres ont été collectionnées par la reine Victoria, ainsi que par Edgar Degas et Vincent van Gogh.
La longue association de Gavarni avec le magazine populaire Le Charivari, auquel Dumier et d'autres caricaturistes de l'époque ont également collaboré, a constitué l'apogée de sa carrière. Travaillant sans interruption de 1838 à 1844, il a produit plus de 900 gravures illustrant la vie parisienne séculaire avec beaucoup d'esprit, de charme et de satire. Il illustre également les romans de Balzac et d'Eugène Sue, ainsi que les nouvelles d'Hoffmann. Outre ses œuvres satiriques, Gavarnie s'est également distingué par ses portraits et ses croquis.
Mais ce n'est pas seulement dans les cercles mondains que Gavarni évolue, où il est admiré. En 1847, il passe un an à Londres, où il peint les habitants des quartiers pauvres de Whitechapel et réalise quelques-unes de ses meilleures œuvres.
Paul Gavarni, de son vrai nom Hippolyte Sulpice Guillaume Chevalier, était un peintre, caricaturiste et illustrateur français et un satiriste remarquable du XIXe siècle.
Commençant sa carrière comme assistant d'ingénieur, il montre les signes de son futur génie à la fin des années 1820 en tant que dessinateur de mode et illustrateur. Mais son talent pour la caricature et l'art satirique le conduit à la rédaction des Gens du Monde en 1835. Paul Gavarni, l'un des caricaturistes les plus intelligents, n'avait pas son pareil pour dessiner et capturer les folies et les travers de son époque. Il s'est lié d'amitié avec de nombreux autres artistes de premier plan et écrivains contemporains, dont Honoré Balzac, Charles Dickens et William Maykpis Thackeray. Ses œuvres ont été collectionnées par la reine Victoria, ainsi que par Edgar Degas et Vincent van Gogh.
La longue association de Gavarni avec le magazine populaire Le Charivari, auquel Dumier et d'autres caricaturistes de l'époque ont également collaboré, a constitué l'apogée de sa carrière. Travaillant sans interruption de 1838 à 1844, il a produit plus de 900 gravures illustrant la vie parisienne séculaire avec beaucoup d'esprit, de charme et de satire. Il illustre également les romans de Balzac et d'Eugène Sue, ainsi que les nouvelles d'Hoffmann. Outre ses œuvres satiriques, Gavarnie s'est également distingué par ses portraits et ses croquis.
Mais ce n'est pas seulement dans les cercles mondains que Gavarni évolue, où il est admiré. En 1847, il passe un an à Londres, où il peint les habitants des quartiers pauvres de Whitechapel et réalise quelques-unes de ses meilleures œuvres.