A129-1: Alte Drucke, Handschriften und Kunstwissenschaft
Abraham a Sancta Clara, de son vrai nom Johann Ulrich Megerle, était un moine augustin et un satiriste, prédicateur à la cour de Vienne.
Doté d'un style de prédication inimitable, mêlant humour populaire et acrimonie, Abraham était très populaire auprès de ses contemporains. Il fustigeait sans crainte les vices humains, en recourant à la fois au pathos et aux jeux de mots, tout en délivrant des messages religieux et moraux. Quelque 600 de ses sermons enregistrés sur divers sujets ont été conservés.
Augustin d'Hippone (latin: Aurelius Augustinus) est un philosophe et théologien chrétien romain ayant occupé le rôle d'évêque d'Hippone en Numidie. Avec Ambroise de Milan, Jérôme de Stridon et Grégoire le Grand, il est l'un des quatre Pères de l'Église occidentale et l’un des trente-sept docteurs de l’Église.
Augustin est un des penseurs qui ont permis au christianisme d'intégrer une partie de l'héritage grec et romain, en généralisant une lecture allégorique des Écritures suivant le modèle préconisé par Ambroise de Milan et le néoplatonisme. Toujours à la suite d'Ambroise, un ancien haut fonctionnaire romain, il incorpore au christianisme une tendance au recours à la force héritée de la République romaine. Il est le penseur le plus influent du monde occidental jusqu'à Thomas d'Aquin qui, huit siècles plus tard, donnera un tour plus aristotélicien au christianisme.
Augustin d'Hippone (latin: Aurelius Augustinus) est un philosophe et théologien chrétien romain ayant occupé le rôle d'évêque d'Hippone en Numidie. Avec Ambroise de Milan, Jérôme de Stridon et Grégoire le Grand, il est l'un des quatre Pères de l'Église occidentale et l’un des trente-sept docteurs de l’Église.
Augustin est un des penseurs qui ont permis au christianisme d'intégrer une partie de l'héritage grec et romain, en généralisant une lecture allégorique des Écritures suivant le modèle préconisé par Ambroise de Milan et le néoplatonisme. Toujours à la suite d'Ambroise, un ancien haut fonctionnaire romain, il incorpore au christianisme une tendance au recours à la force héritée de la République romaine. Il est le penseur le plus influent du monde occidental jusqu'à Thomas d'Aquin qui, huit siècles plus tard, donnera un tour plus aristotélicien au christianisme.