ID 658724
Lot 574 | Qingbai-Schale mit graviertem Dekor, China, südliche Song-Dynastie
Valeur estimée
€ 500
Elegantly potted bowl with thin, slightly rounded sides, fluidly carved on the interior with a lotus blossom and leaves, covered inside and outside with a lustrous, pale ivory-toned glaze. Traces of a customs mark on the base. Extremely fine hairline crack on the wall. Otherwise intact. No chips or additions. Very rare specimen. Diameter 18 cm, height 4.4 cm.
Ding bowls were favoured by esteemed literati in the Song Dynasty for their luminous white glaze, which created an attractive contrast especially with tea colour. Su Shi, who was appointed Governor of Dingzhou, the state where the Ding kilns were located, wrote a poem on Ding white porcelain in 1093. Being a well-respected connoisseur and artist, Su Shi’s praise undoubtedly solidified the status of Ding porcelain amongst subsequent connoisseurs. The Jin-dynasty scholar Liu Qi (1203 - 1259), for example, wrote in his poem: "Dingzhou huaciou, yanse tianxia bai" (decorated porcelain bowls from Dingzhou have the best white colour under Heaven).
A similar bowl, formerly in the Oppenheim Collection and now in the British Museum, is illustrated in "The World's Great Collections: Oriental Ceramics", vol. 5., pl. 20. Another related example, illustrated in "Chinese Ceramics in the Idemitsu Collection", Japan, 1987, no. 413, was sold at Christie's "Hong Kong", 1 December 2009, lot 1863. Cf. also Christie's "Hong Kong", 26th November 2018, lot 8005. A hexafoil bowl of similar form and size but with lotus carved in a slightly different style, dating to the Jin dynasty, is in the Beijing Palace Museum Collection, illustrated in "Zhongguo taoci quanji – Dingyao", Shanghai, 1981, pl. 90. Compare also to a Ding bowl of similar shape, but carved with different floral motifs featuring curling foliage, formerly in the Mrs. Alfred Clark and J. T. Tai collections, sold at Sotheby's New York, 22 March 2011, lot 167.
Provenance: From a private collection in Bavaria.
Condition: II
Elegante weiße Ding-Schale mit graviertem Dekor, nördliche Song-Dynastie (960 - 1127)
Elegante Schale mit dünner, leicht gerundeter Wandung, innen meisterhaft mit einer gravierten Lotosblüte und Blättern verziert. Innen und außen mit glänzender, blass elfenbeinfarbener Glasur überzogen. Spuren einer Wachs-Zollmarke auf der Unterseite. Äußerst feiner Haarriss an der Wandung. Ansonsten intakt. Keine Chips oder Ergänzungen. Sehr seltenes Exemplar. Durchmesser 18 cm, Höhe 4,4 cm.
Ding-Schalen wurden von angesehenen Literaten in der Song-Dynastie wegen ihrer leuchtend weißen Glasur geschätzt, die besonders mit der Farbe des Tees einen attraktiven Kontrast bildete. Su Shi, Gouverneur von Dingzhou, der Region, in der sich die Ding-Brennöfen befanden, schrieb im Jahr 1093 ein Gedicht über die weißen Ding-Porzellane. Da Su Shi ein angesehener Kenner und Künstler war, festigte sein Lob zweifellos den Status des Ding-Porzellans unter späteren Kennern. Der Gelehrte der Jin-Dynastie, Liu Qi (1203 - 1259), schrieb zum Beispiel in seinem Gedicht: "Dingzhou huaciou, yanse tianxia bai" (verzierte Porzellanschalen aus Dingzhou haben die beste weiße Farbe unter dem Himmel).
Eine ähnliche Schale, früher in der Sammlung Oppenheim und jetzt im Britischen Museum, ist abgebildet in "The World's Great Collections: Oriental Ceramics", Bd. 5, Abb. 20. Ein weiteres verwandtes Beispiel, abgebildet in "Chinese Ceramics in the Idemitsu Collection", Japan, 1987, Nr. 413, wurde bei Christie's "Hong Kong", 1. Dezember 2009, Los 1863, verkauft.
Vgl. auch Christie's "Hong Kong", 26. November 2018, Los 8005. Eine sechseckige Schale von ähnlicher Form und Größe, aber mit Lotus-Dekor in einem etwas anderen Stil geschnitzt und datiert in die Jin-Dynastie, befindet sich in der Sammlung des Pekinger Palastmuseums, abgebildet in "Zhongguo taoci quanji - Dingyao", Shanghai, 1981, Pl. 90. Vgl. auch eine Ding-Schale von ähnlicher Form, aber mit anderen floralen Motiven geschnitzt, die gewundenes Blattwerk zeigen, ehemals in den Sammlungen von Mrs. Alfred Clark und J. T. Tai, verkauft bei Sotheby's New York, 22. März 2011, Los 167.
Provenienz: Bayerische Privatsammlung.
Zustand: II
Catégorie maison de vente aux enchères: | Art asiatique |
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Catégorie maison de vente aux enchères: | Art asiatique |
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Adresse de l'enchère |
Hermann Historica Bretonischer Ring 3 85630 Grasbrunn / München Allemagne | ||||||||||||||
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