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George Grosz était un peintre, graphiste et caricaturiste allemand du XXe siècle. Son œuvre est influencée par divers styles d'art d'avant-garde, notamment le dadaïsme, l'expressionnisme et le futurisme.
George Grosz peint dans tous les styles avec un esprit grotesque et satirique, ridiculisant les maux de la société. Le thème érotique, qui occupe une place prépondérante dans l'œuvre de Gross, est exécuté dans le même esprit.
Grosz a consacré plus de 20 ans à l'enseignement à l'Art Students' League de New York et a été élu membre honoraire de l'Académie américaine et de l'Académie de Berlin pour les services exceptionnels qu'il a rendus aux arts.


Franz Radziwill était un artiste allemand du XXe siècle. Il est connu comme peintre paysagiste, graphiste et graveur associé au mouvement artistique de la "nouvelle matérialité".
Franz Radziwill a réalisé des peintures caractérisées par des détails minutieux et l'utilisation de techniques de glacis empruntées aux anciens maîtres. Il a utilisé des éléments de bâtiments industriels et de technologie moderne, y compris des bateaux et des avions, dans ses paysages. Les résultats de son travail peuvent être classés dans la catégorie du réalisme magique.
En 1933, Radziwill est devenu professeur de peinture à l'Académie des arts de Düsseldorf, mais en 1935, les nazis l'ont déchu de ce poste, déclarant que son travail était de l'art dégénéré.


Max Liebermann était un peintre et graveur allemand et l'un des principaux partisans de l'impressionnisme en Allemagne et en Europe continentale. En plus de son activité d'artiste, il a également rassemblé une importante collection d'œuvres impressionnistes françaises.


Ewald Mataré est un peintre et sculpteur allemand.
En 1932, il obtient une chaire à l'Académie des beaux-arts de Düsseldorf. Après 1933, la vie culturelle et artistique en Allemagne est étouffée par l'idéologie nazie. Mataré est dénoncé comme étant «dégénéré» et perd son poste. Une de ses sculptures, Die Katze (Le Chat), est d'ailleurs placé dans le salon de l'Art dégénéré de Munich, en 1937. Mataré se tourne alors vers l'art sacré.
