мадам де севинье (1626 - 1696)
Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné est un écrivain français du XVIIe siècle de genre épistolaire.
Marie est issue d'une famille noble, mais elle est orpheline à l'âge de six ans et élevée par son oncle Philippe II de Coulanges. Elle reçut une bonne éducation et épousa Henri de Sévigné en 1644. En 1651, celui-ci est tué en duel et Madame de Sévigné se retrouve veuve avec deux enfants. Elle mène une vie sociale ordinaire, et ce n'est que le mariage de sa fille, la séparation douloureuse d'avec elle et la solitude qui révèlent soudain chez la marquise des dons littéraires.
À partir de 1671 et pendant trente ans, Madame de Sévigné écrit à sa fille environ 1700 lettres, et cette correspondance a une importance à la fois historique et littéraire. Dans ses lettres, la femme relate les nouvelles et les événements de la société séculière, décrit des personnages importants, commente tout cela et rapporte les détails de sa propre vie. Ses lettres reflètent le raffinement intellectuel de la culture des salons de l'époque. Madame de Sévigné aborde également des sujets philosophiques et religieux sérieux, la nature, l'art, la morale et la psychologie.
Ses lettres étaient lues dans les salons et passaient de main en main. Peu à peu, elles se sont transformées en un recueil, dont la première édition a été publiée en 1726, et qui s'est peu à peu enrichi et complété. Les Lettres de Madame de Sévigné ont gagné en popularité au fil des ans, devenant une source d'étude historique de l'époque et de la langue. Les établissements d'enseignement francophones de nombreux pays du monde ont inclus les œuvres de Sévigné dans leurs programmes. Le cratère de Sévigné sur Vénus est nommé en son honneur.
Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné est un écrivain français du XVIIe siècle de genre épistolaire.
Marie est issue d'une famille noble, mais elle est orpheline à l'âge de six ans et élevée par son oncle Philippe II de Coulanges. Elle reçut une bonne éducation et épousa Henri de Sévigné en 1644. En 1651, celui-ci est tué en duel et Madame de Sévigné se retrouve veuve avec deux enfants. Elle mène une vie sociale ordinaire, et ce n'est que le mariage de sa fille, la séparation douloureuse d'avec elle et la solitude qui révèlent soudain chez la marquise des dons littéraires.
À partir de 1671 et pendant trente ans, Madame de Sévigné écrit à sa fille environ 1700 lettres, et cette correspondance a une importance à la fois historique et littéraire. Dans ses lettres, la femme relate les nouvelles et les événements de la société séculière, décrit des personnages importants, commente tout cela et rapporte les détails de sa propre vie. Ses lettres reflètent le raffinement intellectuel de la culture des salons de l'époque. Madame de Sévigné aborde également des sujets philosophiques et religieux sérieux, la nature, l'art, la morale et la psychologie.
Ses lettres étaient lues dans les salons et passaient de main en main. Peu à peu, elles se sont transformées en un recueil, dont la première édition a été publiée en 1726, et qui s'est peu à peu enrichi et complété. Les Lettres de Madame de Sévigné ont gagné en popularité au fil des ans, devenant une source d'étude historique de l'époque et de la langue. Les établissements d'enseignement francophones de nombreux pays du monde ont inclus les œuvres de Sévigné dans leurs programmes. Le cratère de Sévigné sur Vénus est nommé en son honneur.