forest landscape
Hermann Ottomar Herzog est un peintre paysagiste américain d'origine allemande. Il représente l'école de peinture de Düsseldorf et est membre de l'école de la rivière Hudson. Il connaît rapidement le succès commercial et commence à gagner beaucoup d'argent, ce qui lui permet de voyager beaucoup.
Herman Herzog s'est installé aux États-Unis à la fin des années 1860. Il consacre une grande partie de son œuvre à son voyage à travers les États de l'Ouest jusqu'en Californie en 1873. Il a aussi fréquemment visité et travaillé dans le Maine et en Floride.
Emile Gallé est un industriel, maître verrier, ébéniste et céramiste français.
Il est fondateur et premier président de l’École de Nancy en 1901.
Enfant de l'art et du commerce, il est l'une des figures les plus marquantes des arts appliqués de son époque et l'un des pionniers de l'Art nouveau. C'est également un précurseur en matière de génétique et d'évolution concernant le monde végétal, ses travaux méconnus du grand public sont pourtant d'une grande pertinence puisqu'ils précèdent ceux de Gregor Mendel et en annoncent les grandes lignes.
Pieter Snayers est un peintre flamand.
Élève de Sébastien Vrancx, Peeter Snayers devient en 1613 un artiste indépendant de la guilde de Saint-Luc, corporation anversoise des artisans d'art et artistes.
Joseph Wenglein était un peintre allemand souvent considéré comme l'un des derniers grands paysagistes de l'école munichoise du XIXe siècle.
Parallèlement à ses études de droit, Joseph Wenglein a étudié à l'Académie des beaux-arts de Munich. Il se consacre ensuite pleinement à l'art et devient l'élève du peintre paysagiste Johann Gottfried Steffan. Sur la recommandation de ce dernier, Wenglein devint quelque temps plus tard l'élève du peintre Adolf Heinrich Lier, dont les tendances coloristes, calculées pour exprimer des états d'âme profonds, le séduisaient particulièrement.
Josef Wenglein savait reproduire les changements de lumière du jour, surtout au printemps et en automne, avec un sens aigu des moindres fluctuations atmosphériques et varier magistralement le ton gris et agréable du plateau bavarois dans toutes ses nuances.