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Johann Heinrich Tischbein est un peintre allemand.
Marcus Gerards le Jeune était un portraitiste flamand de la Renaissance.
Marcus Gerards le Jeune était considéré comme l'un des portraitistes les plus talentueux de Grande-Bretagne à la fin du XVIe siècle. Il était sous le patronage de la princesse Anne de Danemark (1574-1619), épouse du roi Jacques Ier Stuart d'Angleterre et d'Écosse. En 1610, il devient peintre de la cour, dont le travail est très bien rémunéré. Il peint les portraits du roi Jacques Ier, de la reine Anne et de leurs enfants.
Antoine van Dyck, né le 22 mars 1599 à Anvers et mort le 9 décembre 1641 à Londres, se distingue comme l'un des peintres baroques flamands les plus influents de son époque, notamment en tant que portraitiste de premier plan de la cour d'Angleterre. Sa formation artistique débute sous la tutelle d'Hendrick van Balen à Anvers, avant de devenir rapidement l'assistant principal de Pierre Paul Rubens, autre figure majeure de la peinture flamande. Van Dyck est particulièrement reconnu pour ses portraits élégants de Charles Ier d'Angleterre et de son entourage, marquant de son empreinte le portraitisme anglais pour près d'un siècle et demi.
Son talent précoce l'amène à établir son propre atelier dès l'âge de 15 ans, témoignant d'une maturité artistique exceptionnelle dès ses premières œuvres. En 1618, il est admis à la Guilde de Saint-Luc d'Anvers, ce qui consolide sa réputation en Flandre avant de s'étendre au-delà des frontières, notamment en Italie et en Angleterre, où il perfectionne son art et développe une nouvelle langue stylistique influencée par Titien.
Parmi ses œuvres les plus célèbres, on retrouve "Jupiter et Antiope", "Charles Ier à la chasse", et le "Triple portrait de Charles Ier", soulignant sa capacité à capturer l'essence de ses sujets avec une grâce et une élégance inégalées. Ses contributions ne se limitent pas aux portraits, van Dyck s'illustrant également dans la peinture religieuse et mythologique, ainsi que dans la gravure.
Les œuvres de van Dyck sont dispersées à travers de nombreux musées d'importance mondiale, telles que la National Gallery de Londres, où ses portraits continuent d'attirer l'admiration des visiteurs pour leur sensibilité et la délicatesse de leur exécution.
Pour les collectionneurs et les experts en art et antiquités, l'œuvre d'Antoine van Dyck demeure un domaine d'exploration riche et captivant, offrant un aperçu profond de l'évolution du portraitisme et de l'art baroque flamand.
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Peter Lely, né Pieter van der Faes, était un peintre anglais d'origine néerlandaise, membre de la Guilde de Saint-Luc à Haarlem.
En Angleterre, son talent de portraitiste était très apprécié, il devint sujet britannique et fut anobli. Pendant de nombreuses années, Lely a été le portraitiste le plus en vogue en Angleterre. Il était le principal portraitiste à la cour des rois Charles Ier et Charles II. Lely a peint de nombreux portraits de nobles chevaliers et de dames de la cour.
Philip Rundell était un bijoutier anglais très prospère, un détaillant de bijoux fins et un propriétaire d'entreprise de maîtres joailliers, connu pour son association avec la royauté. Avec John Bridge, il a dirigé et codirigé Rundell and Bridge, une entreprise qui avait de nombreux intérêts dans le commerce de la bijouterie et des métaux précieux.
Paul Storr était un orfèvre anglais qui travaillait dans le style néoclassique et d'autres styles à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle. Ses œuvres vont de la simple vaisselle à de magnifiques pièces sculpturales destinées à la royauté.
Robert Hennell était un orfèvre et un graveur anglais, surtout connu pour son travail à l'époque géorgienne. Il a été l'apprenti de l'orfèvre John Scofield avant de créer son propre atelier en 1763.
Les pièces d'argent de Hennell étaient très recherchées pour leur qualité et leur savoir-faire. Il a produit une large gamme d'objets, des services à thé aux chandeliers, et ses créations se caractérisaient par leur élégante simplicité et leur souci du détail. Il a également créé un certain nombre d'objets commémoratifs, dont le coffret en argent offert à Lord Nelson par la ville de Londres en 1800.
Outre son travail d'orfèvre, Hennell était également un graveur accompli, et son travail se retrouve sur un certain nombre de pièces de monnaie et de médailles de l'époque géorgienne. Il était membre de la Royal Academy et a exposé ses œuvres lors des expositions de la Royal Academy tout au long de sa carrière.
Aujourd'hui, les pièces d'argenterie et les gravures de Hennell figurent dans les collections de musées du monde entier, notamment le Victoria and Albert Museum de Londres et le Metropolitan Museum of Art de New York. Son travail continue d'être admiré pour sa beauté, sa qualité et son importance historique.