rodolphe bresdin (1822 - 1885)
Rodolphe Bresdin est un dessinateur et graveur français.
Ses œuvres fantastiques, d'une étrange minutie — qui constituent aujourd'hui encore une énigme et résistent à bien des interprétations —, ont notamment séduit Charles Baudelaire, Théophile Gautier, Joris-Karl Huysmans, Robert de Montesquiou et André Breton qui en fit un «protosurréaliste». Odilon Redon, qui a laissé de lui un émouvant portrait, organisa vingt ans après sa mort, en 1908, une exposition rétrospective au Salon d'automne qui fut une révélation pour beaucoup.
Rodolphe Bresdin est un dessinateur et graveur français.
Ses œuvres fantastiques, d'une étrange minutie — qui constituent aujourd'hui encore une énigme et résistent à bien des interprétations —, ont notamment séduit Charles Baudelaire, Théophile Gautier, Joris-Karl Huysmans, Robert de Montesquiou et André Breton qui en fit un «protosurréaliste». Odilon Redon, qui a laissé de lui un émouvant portrait, organisa vingt ans après sa mort, en 1908, une exposition rétrospective au Salon d'automne qui fut une révélation pour beaucoup.
Rodolphe Bresdin est un dessinateur et graveur français.
Ses œuvres fantastiques, d'une étrange minutie — qui constituent aujourd'hui encore une énigme et résistent à bien des interprétations —, ont notamment séduit Charles Baudelaire, Théophile Gautier, Joris-Karl Huysmans, Robert de Montesquiou et André Breton qui en fit un «protosurréaliste». Odilon Redon, qui a laissé de lui un émouvant portrait, organisa vingt ans après sa mort, en 1908, une exposition rétrospective au Salon d'automne qui fut une révélation pour beaucoup.
Rodolphe Bresdin est un dessinateur et graveur français.
Ses œuvres fantastiques, d'une étrange minutie — qui constituent aujourd'hui encore une énigme et résistent à bien des interprétations —, ont notamment séduit Charles Baudelaire, Théophile Gautier, Joris-Karl Huysmans, Robert de Montesquiou et André Breton qui en fit un «protosurréaliste». Odilon Redon, qui a laissé de lui un émouvant portrait, organisa vingt ans après sa mort, en 1908, une exposition rétrospective au Salon d'automne qui fut une révélation pour beaucoup.
Rodolphe Bresdin est un dessinateur et graveur français.
Ses œuvres fantastiques, d'une étrange minutie — qui constituent aujourd'hui encore une énigme et résistent à bien des interprétations —, ont notamment séduit Charles Baudelaire, Théophile Gautier, Joris-Karl Huysmans, Robert de Montesquiou et André Breton qui en fit un «protosurréaliste». Odilon Redon, qui a laissé de lui un émouvant portrait, organisa vingt ans après sa mort, en 1908, une exposition rétrospective au Salon d'automne qui fut une révélation pour beaucoup.
Rodolphe Bresdin est un dessinateur et graveur français.
Ses œuvres fantastiques, d'une étrange minutie — qui constituent aujourd'hui encore une énigme et résistent à bien des interprétations —, ont notamment séduit Charles Baudelaire, Théophile Gautier, Joris-Karl Huysmans, Robert de Montesquiou et André Breton qui en fit un «protosurréaliste». Odilon Redon, qui a laissé de lui un émouvant portrait, organisa vingt ans après sa mort, en 1908, une exposition rétrospective au Salon d'automne qui fut une révélation pour beaucoup.
Rodolphe Bresdin est un dessinateur et graveur français.
Ses œuvres fantastiques, d'une étrange minutie — qui constituent aujourd'hui encore une énigme et résistent à bien des interprétations —, ont notamment séduit Charles Baudelaire, Théophile Gautier, Joris-Karl Huysmans, Robert de Montesquiou et André Breton qui en fit un «protosurréaliste». Odilon Redon, qui a laissé de lui un émouvant portrait, organisa vingt ans après sa mort, en 1908, une exposition rétrospective au Salon d'automne qui fut une révélation pour beaucoup.
Rodolphe Bresdin est un dessinateur et graveur français.
Ses œuvres fantastiques, d'une étrange minutie — qui constituent aujourd'hui encore une énigme et résistent à bien des interprétations —, ont notamment séduit Charles Baudelaire, Théophile Gautier, Joris-Karl Huysmans, Robert de Montesquiou et André Breton qui en fit un «protosurréaliste». Odilon Redon, qui a laissé de lui un émouvant portrait, organisa vingt ans après sa mort, en 1908, une exposition rétrospective au Salon d'automne qui fut une révélation pour beaucoup.
Rodolphe Bresdin est un dessinateur et graveur français.
Ses œuvres fantastiques, d'une étrange minutie — qui constituent aujourd'hui encore une énigme et résistent à bien des interprétations —, ont notamment séduit Charles Baudelaire, Théophile Gautier, Joris-Karl Huysmans, Robert de Montesquiou et André Breton qui en fit un «protosurréaliste». Odilon Redon, qui a laissé de lui un émouvant portrait, organisa vingt ans après sa mort, en 1908, une exposition rétrospective au Salon d'automne qui fut une révélation pour beaucoup.
Rodolphe Bresdin est un dessinateur et graveur français.
Ses œuvres fantastiques, d'une étrange minutie — qui constituent aujourd'hui encore une énigme et résistent à bien des interprétations —, ont notamment séduit Charles Baudelaire, Théophile Gautier, Joris-Karl Huysmans, Robert de Montesquiou et André Breton qui en fit un «protosurréaliste». Odilon Redon, qui a laissé de lui un émouvant portrait, organisa vingt ans après sa mort, en 1908, une exposition rétrospective au Salon d'automne qui fut une révélation pour beaucoup.
Rodolphe Bresdin est un dessinateur et graveur français.
Ses œuvres fantastiques, d'une étrange minutie — qui constituent aujourd'hui encore une énigme et résistent à bien des interprétations —, ont notamment séduit Charles Baudelaire, Théophile Gautier, Joris-Karl Huysmans, Robert de Montesquiou et André Breton qui en fit un «protosurréaliste». Odilon Redon, qui a laissé de lui un émouvant portrait, organisa vingt ans après sa mort, en 1908, une exposition rétrospective au Salon d'automne qui fut une révélation pour beaucoup.
Rodolphe Bresdin est un dessinateur et graveur français.
Ses œuvres fantastiques, d'une étrange minutie — qui constituent aujourd'hui encore une énigme et résistent à bien des interprétations —, ont notamment séduit Charles Baudelaire, Théophile Gautier, Joris-Karl Huysmans, Robert de Montesquiou et André Breton qui en fit un «protosurréaliste». Odilon Redon, qui a laissé de lui un émouvant portrait, organisa vingt ans après sa mort, en 1908, une exposition rétrospective au Salon d'automne qui fut une révélation pour beaucoup.