Amoako Boafo (1984) — Prix d'enchère
Amoako Boafo est un peintre ghanéen qui vit et travaille à Vienne (Autriche).
Il veut mettre les Noirs et leur dignité au premier plan de son art. S’emparant de la technique de grands maîtres occidentaux, comme la ligne sinueuse de l’Autrichien Egon Schiele, même si on le compare plus à Kees van Dongen, il veut «décoder les nuances de la couleur de la peau» dans ses portraits. Il peint les visages au doigt, dans des nuances de brun, ocre, bleu céruléen, vert mousse et jaune safran. afin «d’obtenir une intensité et une énergie que je n’aurais pas avec une brosse».
Amoako Boafo est un peintre ghanéen qui vit et travaille à Vienne (Autriche).
Il veut mettre les Noirs et leur dignité au premier plan de son art. S’emparant de la technique de grands maîtres occidentaux, comme la ligne sinueuse de l’Autrichien Egon Schiele, même si on le compare plus à Kees van Dongen, il veut «décoder les nuances de la couleur de la peau» dans ses portraits. Il peint les visages au doigt, dans des nuances de brun, ocre, bleu céruléen, vert mousse et jaune safran. afin «d’obtenir une intensité et une énergie que je n’aurais pas avec une brosse».
Amoako Boafo est un peintre ghanéen qui vit et travaille à Vienne (Autriche).
Il veut mettre les Noirs et leur dignité au premier plan de son art. S’emparant de la technique de grands maîtres occidentaux, comme la ligne sinueuse de l’Autrichien Egon Schiele, même si on le compare plus à Kees van Dongen, il veut «décoder les nuances de la couleur de la peau» dans ses portraits. Il peint les visages au doigt, dans des nuances de brun, ocre, bleu céruléen, vert mousse et jaune safran. afin «d’obtenir une intensité et une énergie que je n’aurais pas avec une brosse».
Amoako Boafo est un peintre ghanéen qui vit et travaille à Vienne (Autriche).
Il veut mettre les Noirs et leur dignité au premier plan de son art. S’emparant de la technique de grands maîtres occidentaux, comme la ligne sinueuse de l’Autrichien Egon Schiele, même si on le compare plus à Kees van Dongen, il veut «décoder les nuances de la couleur de la peau» dans ses portraits. Il peint les visages au doigt, dans des nuances de brun, ocre, bleu céruléen, vert mousse et jaune safran. afin «d’obtenir une intensité et une énergie que je n’aurais pas avec une brosse».
Amoako Boafo est un peintre ghanéen qui vit et travaille à Vienne (Autriche).
Il veut mettre les Noirs et leur dignité au premier plan de son art. S’emparant de la technique de grands maîtres occidentaux, comme la ligne sinueuse de l’Autrichien Egon Schiele, même si on le compare plus à Kees van Dongen, il veut «décoder les nuances de la couleur de la peau» dans ses portraits. Il peint les visages au doigt, dans des nuances de brun, ocre, bleu céruléen, vert mousse et jaune safran. afin «d’obtenir une intensité et une énergie que je n’aurais pas avec une brosse».
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Il veut mettre les Noirs et leur dignité au premier plan de son art. S’emparant de la technique de grands maîtres occidentaux, comme la ligne sinueuse de l’Autrichien Egon Schiele, même si on le compare plus à Kees van Dongen, il veut «décoder les nuances de la couleur de la peau» dans ses portraits. Il peint les visages au doigt, dans des nuances de brun, ocre, bleu céruléen, vert mousse et jaune safran. afin «d’obtenir une intensité et une énergie que je n’aurais pas avec une brosse».
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Il veut mettre les Noirs et leur dignité au premier plan de son art. S’emparant de la technique de grands maîtres occidentaux, comme la ligne sinueuse de l’Autrichien Egon Schiele, même si on le compare plus à Kees van Dongen, il veut «décoder les nuances de la couleur de la peau» dans ses portraits. Il peint les visages au doigt, dans des nuances de brun, ocre, bleu céruléen, vert mousse et jaune safran. afin «d’obtenir une intensité et une énergie que je n’aurais pas avec une brosse».
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Il veut mettre les Noirs et leur dignité au premier plan de son art. S’emparant de la technique de grands maîtres occidentaux, comme la ligne sinueuse de l’Autrichien Egon Schiele, même si on le compare plus à Kees van Dongen, il veut «décoder les nuances de la couleur de la peau» dans ses portraits. Il peint les visages au doigt, dans des nuances de brun, ocre, bleu céruléen, vert mousse et jaune safran. afin «d’obtenir une intensité et une énergie que je n’aurais pas avec une brosse».
Amoako Boafo est un peintre ghanéen qui vit et travaille à Vienne (Autriche).
Il veut mettre les Noirs et leur dignité au premier plan de son art. S’emparant de la technique de grands maîtres occidentaux, comme la ligne sinueuse de l’Autrichien Egon Schiele, même si on le compare plus à Kees van Dongen, il veut «décoder les nuances de la couleur de la peau» dans ses portraits. Il peint les visages au doigt, dans des nuances de brun, ocre, bleu céruléen, vert mousse et jaune safran. afin «d’obtenir une intensité et une énergie que je n’aurais pas avec une brosse».
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Il veut mettre les Noirs et leur dignité au premier plan de son art. S’emparant de la technique de grands maîtres occidentaux, comme la ligne sinueuse de l’Autrichien Egon Schiele, même si on le compare plus à Kees van Dongen, il veut «décoder les nuances de la couleur de la peau» dans ses portraits. Il peint les visages au doigt, dans des nuances de brun, ocre, bleu céruléen, vert mousse et jaune safran. afin «d’obtenir une intensité et une énergie que je n’aurais pas avec une brosse».
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Il veut mettre les Noirs et leur dignité au premier plan de son art. S’emparant de la technique de grands maîtres occidentaux, comme la ligne sinueuse de l’Autrichien Egon Schiele, même si on le compare plus à Kees van Dongen, il veut «décoder les nuances de la couleur de la peau» dans ses portraits. Il peint les visages au doigt, dans des nuances de brun, ocre, bleu céruléen, vert mousse et jaune safran. afin «d’obtenir une intensité et une énergie que je n’aurais pas avec une brosse».
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Il veut mettre les Noirs et leur dignité au premier plan de son art. S’emparant de la technique de grands maîtres occidentaux, comme la ligne sinueuse de l’Autrichien Egon Schiele, même si on le compare plus à Kees van Dongen, il veut «décoder les nuances de la couleur de la peau» dans ses portraits. Il peint les visages au doigt, dans des nuances de brun, ocre, bleu céruléen, vert mousse et jaune safran. afin «d’obtenir une intensité et une énergie que je n’aurais pas avec une brosse».
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Il veut mettre les Noirs et leur dignité au premier plan de son art. S’emparant de la technique de grands maîtres occidentaux, comme la ligne sinueuse de l’Autrichien Egon Schiele, même si on le compare plus à Kees van Dongen, il veut «décoder les nuances de la couleur de la peau» dans ses portraits. Il peint les visages au doigt, dans des nuances de brun, ocre, bleu céruléen, vert mousse et jaune safran. afin «d’obtenir une intensité et une énergie que je n’aurais pas avec une brosse».
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Il veut mettre les Noirs et leur dignité au premier plan de son art. S’emparant de la technique de grands maîtres occidentaux, comme la ligne sinueuse de l’Autrichien Egon Schiele, même si on le compare plus à Kees van Dongen, il veut «décoder les nuances de la couleur de la peau» dans ses portraits. Il peint les visages au doigt, dans des nuances de brun, ocre, bleu céruléen, vert mousse et jaune safran. afin «d’obtenir une intensité et une énergie que je n’aurais pas avec une brosse».
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Il veut mettre les Noirs et leur dignité au premier plan de son art. S’emparant de la technique de grands maîtres occidentaux, comme la ligne sinueuse de l’Autrichien Egon Schiele, même si on le compare plus à Kees van Dongen, il veut «décoder les nuances de la couleur de la peau» dans ses portraits. Il peint les visages au doigt, dans des nuances de brun, ocre, bleu céruléen, vert mousse et jaune safran. afin «d’obtenir une intensité et une énergie que je n’aurais pas avec une brosse».
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